A Measure of Shape and Sounds
ALBUM
Liste des chansons
- Thoughtful Descent
- Mechanical Revision
- A Mind’s Tapestry
- Cinematic Insight
- Self-Portrait
- Sorrowful Bouquet
- Manic View
- A Gesture, A Present
- Alchemical Connection
- Reflective Ascent
Ce qui deviendrait éventuellement le deuxième chapitre de Voyage à la Mer, A Measure of Shape and Sounds, est un voyage intime propre à lui, représentant un profond souffle composé de nombreuses strates de guitares en boucle, de réverbérations, de résonances et d’oscillations juxtaposées ensemble afin de créer un tourbillon sonore multi-directionnel contemplatif. Intentionnellement enregistré en direct afin de capter son flot le plus possible, les chansons incarnées à ce moment exact transportèrent leur disposition humaine, non seulement pour s’abandonner au mouvement, mais pour ne faire qu’un avec lui. Foster a mentionné que « Ça donnait l’impression d’être la représentation d’un mouvement organique qui pourrait en résultante nous rendre libre de l’éco chambre dans laquelle nous aurions pu être prisonnier et ainsi mettre fin à la spirale émotionnelle et le cycle affectif de redondance qui vient trop souvent accompagné de notre vide et notre désespoir…»
Il renchérit : « Bien que j’aie la conviction que nous avions guidé Kimiyo aussi loin que nécessaire sans gâcher son faisceau de lumière naturel en ajoutant soudainement les ombres de notre ambition à tout cela, Ben et moi sentions qu’il y avait plus à explorer et tant de fragments supplémentaires de paysages musicaux ont instinctivement fait surface alors que nous continuions à nous attarder aux sensations vives qui nous impactaient encore tous les deux à cet instant précis. »
Instrumental par choix et minimaliste dans sa conception, c’était capital pour Foster que A Measure of Shape and Sounds, se démarque comme étant son propre organisme vivant, pas comme un faire-valoir ou un ajout à l’entité croissante que devenait Voyage à la Mer. Si Momoka incarnait la voix de Kimiyo, Foster était catégorique sur le fait qu’« aucune introspection n’est vraiment vôtre tant que vous ne l’exprimez pas vous-même. » En ce sens, l’album procurerait une bande son en continue à cette réflexion d’introspection intérieure qui nous invite à nous élever vers l’avant, à dompter les autres voix de captivité auxquelles nous abandonnons habituellement nos désirs ardents de liberté.
Voici ce que Foster a vécu tout au long du processus : « Si ces pièces de nouvelle musique ouvraient déjà la voie, je savais qu’il y avait plus à l’expérience. Pour découvrir ce dont il s’agissait, je devrais complètement abandonner toutes les préoccupations imminentes auxquelles je commençais à réfléchir concernant les paramètres circonstanciels associés à ce qui commençait à ressembler beaucoup plus à un effort de grande envergure que ce que je ne pouvais l’ignorer à ce stade-là. Puisque l’authenticité et la cohérence sont toujours les tamis à travers lesquels je passe chacun de mes projets avant de les lancer, je devrais faire confiance à mon instinct et découvrir ce qui s’était mis à fleurir en profondeur sous mes inquiétudes limitatives, me rappelant que la cohérence a tout à voir avec l’honnêteté et non pas la structure. Contrairement à de nombreuses formes d’art sur lesquelles j’ai travaillé par le passé, ce que j’ai vu bourgeonner de nos sessions d’écriture n’avait pas à être analysé pour déterminer si elles étaient « ça » lorsqu’elles ont fait surface ; elles étaient. L’honnêteté ne peut être fabriquée. »
Il renchérit : « Bien que j’aie la conviction que nous avions guidé Kimiyo aussi loin que nécessaire sans gâcher son faisceau de lumière naturel en ajoutant soudainement les ombres de notre ambition à tout cela, Ben et moi sentions qu’il y avait plus à explorer et tant de fragments supplémentaires de paysages musicaux ont instinctivement fait surface alors que nous continuions à nous attarder aux sensations vives qui nous impactaient encore tous les deux à cet instant précis. »
Instrumental par choix et minimaliste dans sa conception, c’était capital pour Foster que A Measure of Shape and Sounds, se démarque comme étant son propre organisme vivant, pas comme un faire-valoir ou un ajout à l’entité croissante que devenait Voyage à la Mer. Si Momoka incarnait la voix de Kimiyo, Foster était catégorique sur le fait qu’« aucune introspection n’est vraiment vôtre tant que vous ne l’exprimez pas vous-même. » En ce sens, l’album procurerait une bande son en continue à cette réflexion d’introspection intérieure qui nous invite à nous élever vers l’avant, à dompter les autres voix de captivité auxquelles nous abandonnons habituellement nos désirs ardents de liberté.
Voici ce que Foster a vécu tout au long du processus : « Si ces pièces de nouvelle musique ouvraient déjà la voie, je savais qu’il y avait plus à l’expérience. Pour découvrir ce dont il s’agissait, je devrais complètement abandonner toutes les préoccupations imminentes auxquelles je commençais à réfléchir concernant les paramètres circonstanciels associés à ce qui commençait à ressembler beaucoup plus à un effort de grande envergure que ce que je ne pouvais l’ignorer à ce stade-là. Puisque l’authenticité et la cohérence sont toujours les tamis à travers lesquels je passe chacun de mes projets avant de les lancer, je devrais faire confiance à mon instinct et découvrir ce qui s’était mis à fleurir en profondeur sous mes inquiétudes limitatives, me rappelant que la cohérence a tout à voir avec l’honnêteté et non pas la structure. Contrairement à de nombreuses formes d’art sur lesquelles j’ai travaillé par le passé, ce que j’ai vu bourgeonner de nos sessions d’écriture n’avait pas à être analysé pour déterminer si elles étaient « ça » lorsqu’elles ont fait surface ; elles étaient. L’honnêteté ne peut être fabriquée. »
Date de sortie
20 Septembre 2024
Musique
Alex Henry Foster
Ben Lemelin
Produit par
Alex Henry Foster
Ben Lemelin
Label
Hopeful Tragedy Records