ÉDITION N°21
Il y aura un temps… Pour toi et moi.
Mes chers amis, j’espère que vous vous portez tous très bien, que vous êtes en mesure d’apprécier les couleurs épanouies que le printemps a à offrir, quelles que soient votre – et la mienne – profonde détresse et désolation provoquées par les horreurs actuellement perpétrées par le régime russe en Ukraine. Si cette abominable et épouvantable agression ne peut être décrite avec des mots, je suis profondément reconnaissant que nous ayons pu trouver consolation et réconfort dans nos échanges ouverts les uns envers les autres pendant au moins un instant lors de notre dernière séance vidéo en direct. Les tragédies insupportables d’autres personnes donnent à chaque moment de paix une perspective humble et reconnaissante, c’est donc avec cet état de cœur et d’esprit respectueux que j’ai été très reconnaissant de pouvoir partager avec vous tous. Je suis également profondément reconnaissant de pouvoir prendre le temps nécessaire pour répondre à certaines des questions que vous m’avez posées lors de la diffusion en direct et auxquelles je n’ai pas pu répondre sur le moment, mais aussi à celles que vous m’avez envoyées à la suite de l’événement.
N’hésitez pas à m’envoyer d’autres questions, c’est un privilège pour moi de partager avec vous !
Avec tout mon amour,
Alex
PS : Si vous pouvez contribuer, n’hésitez pas à donner à la Croix Rouge pour les aider dans leur effort capital envers les réfugiés ukrainiens. (Canada / France)
N’hésitez pas à m’envoyer d’autres questions, c’est un privilège pour moi de partager avec vous !
Avec tout mon amour,
Alex
PS : Si vous pouvez contribuer, n’hésitez pas à donner à la Croix Rouge pour les aider dans leur effort capital envers les réfugiés ukrainiens. (Canada / France)
Vos questions, mes réponses
Vous n’avez pas joué cette chanson “Sorrows (If Only I Had Known)” lors de votre précédente tournée en octobre, n’est-ce pas ? Je ne me souviens plus. – Dave, Pays-Bas
Dave, elle a été écrite pour ce moment spécifiquement, donc ce n’est pas seulement une version inédite… mais nous n’avons jamais joué la chanson après cette fois… Il y aura beaucoup de travail pour réapprendre ces chansons lol
J’espère que la chanson “Sorrows (If Only I Had Known)” sera sur un album dans un futur proche / jouée en tournée – x bird, Japon (et plusieurs d’entre vous)
Bonne question, j’ai une conception variable de ce qu’est un album… ! Le reste du groupe arrive à la maison dans les prochains jours pour travailler sur de nouvelles chansons… donc on verra ce que ça donne. Je pourrais écrire 25 nouvelles chansons exclusivement pour la tournée, qui ne seront plus jamais jouées par la suite. Qui sait ? 🙂
Beaucoup d’entre vous ont demandé si le poème en français de la chanson « Sorrows (If Only I Had Known) » et sa traduction serait disponible quelque part un jour.
OUI !!! Un jour…! 😉
Y a-t-il une chance que « Sorrows (If Only I Had Known) » soit disponible en vinyle ? – Thomas, Allemagne
Comme tu l’as peut-être lu dans une des newsletters exclusives de Jeff pour les membres SFCC, j’ai plusieurs projets à venir cette année. Comme tu le sais, j’aime vraiment le concept de vinyle lathe cut collector unique en édition limitée. Pour moi, c’est comme encapsuler un moment, laisser une émotion captée en temps réel grandir au-delà du temps. Je suis encore incertain sur le fait d’avoir « Sorrows (If Only I Had Known) » sur vinyle… Les membres du groupe devraient me rejoindre à la maison pour préparer la prochaine tournée dans les prochains jours. Alors je pense avoir ces rassemblements enregistrés directement sur vinyle avec vous tous avant de partir en tournée à la fin du mois de mai. Je sais que tu es déjà membre SFCC, alors tu auras tous les détails à propos de ce qui est à venir très bientôt…!
Et pour ceux qui ne sont pas encore membre, je vous invite à vous joindre au club ! Jeff est extrêmement dévoué à vous partager les nouvelles, les événements exclusifs et du contenu plus personnel et intime. (Et il sera content de savoir que je fais de la pub pour le club…!) Mais sérieusement, c’est une bonne façon d’aller plus en profondeur dans l’identité des projets et de connecter avec nous d’une façon plus proche et personnelle.
https://secretfamilycultclub.com
Et pour ceux qui ne sont pas encore membre, je vous invite à vous joindre au club ! Jeff est extrêmement dévoué à vous partager les nouvelles, les événements exclusifs et du contenu plus personnel et intime. (Et il sera content de savoir que je fais de la pub pour le club…!) Mais sérieusement, c’est une bonne façon d’aller plus en profondeur dans l’identité des projets et de connecter avec nous d’une façon plus proche et personnelle.
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Qu’est-ce qui te rend en vie aujourd’hui Alex ? – Marko, Serbie
J’allais justement écrire qu’être en vie est un concept relatif pour moi – en fait je viens juste de l’écrire…! Alors le point est que si j’ai eu un incroyable voyage de vie jusqu’à maintenant, j’ai grandi en explorant la réalité intrinsèque à la notion d’être « en vie » depuis que j’ai accepté de faire face à la perte profondément émotionnelle que j’ai ressentie quand mon père est décédé, tout autant que quand j’ai décidé de quitter la communauté que j’ai fondée il y a quelques années. Il y a un retrait majeur des illusions et des faux-semblants lorsqu’il s’agit de transformations personnelles… C’est plus douloureusement complexe et tristement insupportable que de simplement réécrire le récit de ta vie passée afin de donner un sens à tout ce que tu voudrais voir ton existence se transformer en. Tu peux avancer, mais la liberté est une acceptation des souffrances, autant affligées qu’infligées. C’est aussi la reconnaissance émancipatrice que ce que tu pensais être vrai à un certain point pourrait avoir seulement été le pâle reflet de ton déni de te voir toi-même pour qui tu es. Notre perspective de la liberté est souvent floue avec notre refus de croire qu’un tel état émotionnel est en fait défini par des désirs cachés et des rêves brisés. Alors c’est là que je me situe, je crois, dépouillant lentement mon coeur des sentiments persistants et asservissants liés à des souvenirs associés avec des événements et des gens qui ne se sont jamais vraiment passés ou qui n’ont pas été là pour moi. Ce simple état de fait me rend en vie… Ça, et un mot ou un son sur le point d’émerger pour que je continue à voir au-delà de moi-même…
J’aime que tu ajoutes du français et du japonais dans tes chansons. Est-ce qu’il y a une autre langue que tu aimerais ajouter un jour ? Peut-être un peu d’arabe comme tu as vécu à Tanger ? – Sophie, Canada
Toutes les langues ont une sonorité unique, une tonalité authentique, et c’est toujours sur cette base que j’envisage l’inclusion de différentes langues dans mes projets. Ça peut être quelques mots offrant un élément émotionnel plus profond aux paroles ou un poème définissant l’esprit d’une chanson en tant que telle. C’est toujours très édifiant pour moi de distinguer quels sons sont plus comme le soupir que je peux entendre dans les bruits autrement chaotiques dans lesquels mes pensées créatives et émotionnelles sont immergées. Je suppose que c’est pourquoi la singularité tonale distincte de la langue japonaise a un effet si profond sur moi. On dirait que c’est comme un soupir sacré, une prière délicatement emballée dans des mystères intimes, mais aussi comme la fragile expression d’un type profond et caché de lamentation contemplative. Je pense déjà à un projet en japonais, comme je suis fasciné par le vieux shigin, de la poésie traditionnelle japonaise chantée.
Pour ce qui est de l’idée d’utiliser la langue arabe, la chanson inédite The Slow Pace of the Winds, celle qui ouvrait le concert lors de la tournée avec The Pineapple Thief, a pour origine le spoken word du poète et auteur palestinien Mahmoud Darwish. J’aime les langues arabes pour leur essence chantante et rythmique. Si j’avais entendu son nom et que j’étais tombé sur certains de ses poèmes dans le passé, ce n’est que pendant mon premier passage à Tanger que j’ai eu la bénédiction de comprendre la nature poignante et émotionnelle de ses mots quand quelqu’un qui buvait un thé à côté de moi pendant que je lisais au Gran Café de Paris s’est avéré avoir un des livres de Darwish dans son sac de voyage. L’enthousiasme de cet étranger pour l’oeuvre de Mahmoud a eu un tel effet sur moi que j’ai commencé à explorer son travail à partir de là. Ensuite, j’ai creusé un peu plus dans l’authenticité de son travail en tant qu’homme, artiste, autant que dans l’identité nationale dévouée qu’il avait, tout en explorant aussi son univers littéral dense à travers les yeux de ses opinions politiques et leurs controverses ou mes perspectives nord-américaines…
Concernant les autres langues, j’aime aussi l’espagnol. Alors qui sait, je pourrais explorer ces tonalités passionnées aussi. Mais une chose est sûre, tous ceux qui m’ont entendu parler en allemand, hongrois, ou polonais pendant ma dernière tournée m’ont gentiment mais fortement suggéré de prendre beaucoup plus de temps avant même de m’imaginer en train d’essayer d’utiliser ces langues dans des projets artistiques ! Je suppose que je vais inviter des artistes locaux à collaborer si ce jour arrive !
Pour ce qui est de l’idée d’utiliser la langue arabe, la chanson inédite The Slow Pace of the Winds, celle qui ouvrait le concert lors de la tournée avec The Pineapple Thief, a pour origine le spoken word du poète et auteur palestinien Mahmoud Darwish. J’aime les langues arabes pour leur essence chantante et rythmique. Si j’avais entendu son nom et que j’étais tombé sur certains de ses poèmes dans le passé, ce n’est que pendant mon premier passage à Tanger que j’ai eu la bénédiction de comprendre la nature poignante et émotionnelle de ses mots quand quelqu’un qui buvait un thé à côté de moi pendant que je lisais au Gran Café de Paris s’est avéré avoir un des livres de Darwish dans son sac de voyage. L’enthousiasme de cet étranger pour l’oeuvre de Mahmoud a eu un tel effet sur moi que j’ai commencé à explorer son travail à partir de là. Ensuite, j’ai creusé un peu plus dans l’authenticité de son travail en tant qu’homme, artiste, autant que dans l’identité nationale dévouée qu’il avait, tout en explorant aussi son univers littéral dense à travers les yeux de ses opinions politiques et leurs controverses ou mes perspectives nord-américaines…
Concernant les autres langues, j’aime aussi l’espagnol. Alors qui sait, je pourrais explorer ces tonalités passionnées aussi. Mais une chose est sûre, tous ceux qui m’ont entendu parler en allemand, hongrois, ou polonais pendant ma dernière tournée m’ont gentiment mais fortement suggéré de prendre beaucoup plus de temps avant même de m’imaginer en train d’essayer d’utiliser ces langues dans des projets artistiques ! Je suppose que je vais inviter des artistes locaux à collaborer si ce jour arrive !
Dans la première interview que tu as faite à propos de Windows in the Sky, tu as dit que c’était difficile pour toi de parler de la chanson Snowflakes in July. Qu’en est-il aujourd’hui ? Es-tu plus en paix ? – Elena, États-Unis
Je n’ai pas joué la chanson très souvent. Si j’ai un grand respect émotionnel pour la nature unique de mes chansons et de mes projets, Snowflakes in July implique une intimité personnelle très significative. Alors, pendant une longue période, je devais être dans une sorte de profonde sérénité pour même envisager la perspective de jouer la chanson en concert. C’est à travers des moments significatifs de communion avec d’autres ayant perdu des proches que j’ai réalisé que je n’avais plus à garder Snowflakes in July pour moi seul, que c’était trop précieux et réconfortant pour tant de gens pour même considérer la cacher et la garder dans l’ombre. La chanson était appelée à briller, destinée à grandir au-delà de moi, à être un flot de vie et de guérison amenant à la transformation. Accepter cette réalité m’a permis de la voir pour l’entité magnifique qu’elle était en premier lieu et d’admirer à quel point elle est éblouissante dans sa liberté d’esprit.
Tu chantes « There will be time for you and I » (Il y aura un temps pour toi et moi)… Nous savons que c’était à propos de ton père mais y a-t-il quelqu’un d’autre avec qui tu aimerais avoir plus de temps ? – Tobias, Allemagne
Il y a toujours plusieurs couches de symbolisme et de métaphores dans mes projets. Il n’y a pas d’absolu ni de signification définitive à mes mots… Je crois que des mots intimes, comme toute création artistique honnête, ont leur propre nature qui grandit et évolue. Parfois, quand le sujet d’une chanson me semble trop clair, je réalise souvent que, une fois que j’abandonne mon ego et que je cesse de m’auto-préserver, chaque mot et chaque son ont leurs propres ombres qui contiennent plus de lumière que les ténèbres dont ils sont issus ou dans lesquelles ils essaient de se cacher. L’abandon révèle plus que ce que je ne voudrais m’admettre, et dans ce cas, « toi et moi » implique une communion profondément affective et spirituelle qui n’a pas encore été « consommée », de l’amour à l’amitié, et vice versa. Ce genre de sensation transcendante est trop pure pour être maintenue au milieu effrayant de mes manquements émotionnels. Si ça prend du temps, ça prend aussi du courage de faire face à notre infidélité personnelle face au caractère éphémère d’une perspective aussi insaisissable. C’est à travers l’abandon de soi que le temps perd son emprise sur notre crépuscule qui s’estompe… Le temps devient ensuite un instant qui peut durer éternellement. Le contraire est aussi vrai quand on essaie de s’accrocher à un moment commun donné.
Tu dis « The view is foggy, and so are memories » (La vue est brumeuse, les souvenirs aussi). As-tu pu retrouver un peu de clarté sur ces souvenirs ? – Melinda, Hongrie
Les souvenirs, comme la souffrance ou la joie qu’ils évoquent, sont éternels d’une certaine façon. Quand tu arrêtes de te questionner sur leur signification, peu importe si tu ne peux pas discerner chacun de leurs détails. C’est comme de passer par une ville dense ou une forêt tout en regardant par la fenêtre dans un train à grande vitesse; une forme se transforme en une autre, une couleur se fond dans la suivante… C’est ce que tu fais de ce flot perpétuel d’images et de sensations passées qui définit la luminosité d’un paysage dont ta vie sera remplie… Du moins, c’est comme ça que je le vois maintenant…
Tu as écrit « Windows in the Sky » à Tanger, y a-t-il un pays où tu aimerais aller un jour éventuellement pour écrire un autre album ou créer un autre projet ? – Mertens, Belgique
J’ai écrit à propos de l’hiver, de la neige, du froid et des vastes forêts dans une ville se situant entre un océan et un désert… alors je crois qu’on peut dire que ce que je vois autour de moi quand j’écris est très loin ou différent de ce dont je suis réellement entouré… 😉
Comment s’appelle l’orignal en peluche dans la green room ? – Shona, Royaume-Uni
Il s’appelle Alfred, il m’a suivi à la maison un soir il y a quelques années et il n’est plus jamais parti.
Alex, j’ai une question pour toi: ta musique ressemble par moment à celle de Steven Wilson. Est-ce une de tes influences ? – Arnaud, France
Je ne suis pas vraiment familier avec le catalogue de Steven, mais on m’a posé la question à plusieurs reprises… Je suppose que c’est « l’instinct » créatif et le « danger » qui nous relient tous les deux.
Quelles sont tes influences en ce moment ? Si tu connais plus de groupes inconnus en France, j’aimerais les découvrir. – Emilie, France
J’aime l’idée de connaître des groupes inconnus que je peux partager, c’est la façon la plus mignonne de demander de nouvelles découvertes ! Bonne question par contre…! Je suppose que je devrais faire un ajout exclusivement francophone à une des mes mises à jour de playlist. Reste proche !
Est ce que ton Moog te sert de clavier MIDI ou tu joues aussi des mélodies dessus ? – Fatoni, France
Pour moi, les instruments ont pour principale fonction de m’offrir l’opportunité de faire plus de textures sonores.
Peux-tu parler de ta décision de poser la guitare à plat et d’en jouer comme sur un clavier ? – Blake, États-Unis
Pour moi, les instruments sont des outils pour exprimer des sensations, pour apporter des couches émotionnelles plus profondes… Je ne suis pas un musicien, je suis un impressionniste… Les autres sont des musiciens incroyables par contre. Voyez ce que j’ai fait avec mes différents sliders de guitare, c’est ce que je voulais dire par créer des textures sonores.
Alex, quel est l’instrument mystérieux que tu utilises ? – Kimiyo, Japon
C’est un clavier analogique qui crée ce que les autres membres du groupe appellent un doux son de fin du monde.
Y a-t-il en prévision une ou plusieurs chansons en français dans ton nouveau projet ? – Aurélie, France
La fondation de la chanson « Sorrows (If Only I Had Known) » est issue d’un de mes poèmes en français. J’aimerais le faire d’ici l’année prochaine… donc c’est dans les cartons comme vous dites en France.
Comment s’appelle ce genre de musique ? – Arif, Turquie
Bonne question… Tu pourrais m’aider à lui trouver un nom.
À quand un festival prog avec les groupes actuels : Haken, Tesseract, The Ocean et AHF ? J’ai une autre question pour toi cher Alex : que penses-tu de tes aînés comme Rush, Triumph ou Saga ? – Arnaud, France
Ce serait un honneur de partager la scène avec ces groupes incroyables… pour ceux qui ont ouvert la voie, ils sont la raison pour laquelle nous redéfinissons les limites.
Alex, est-ce qu’on t’a déjà demandé ou n’as-tu jamais pensé à faire la musique d’un film ? D’une série TV ? Ta musique collerait tellement bien sur certaines séries. – Constance, France
Je travaille actuellement sur un projet de bande originale… 😉
L’éclairage est magnifique. C’est comme des boules flottantes… Qui a pensé à la mise en scène ? – Tsugumi, Japon
C’est mon concept, je voulais créer une ambiance de théâtre à l’ancienne… mais Miss Isabel fut la « magicienne » de la décoration.
La dernière chanson de cette diffusion en direct est-elle celle qui était la chanson d’ouverture lors de la tournée avec The Pineapple Thief ? – Duncan, Royaume-Uni
La chanson dont tu parles s’appelle “Ouverture”, qui était suivie par “Slow Pace of the Winds” … aussi écrite pour la tournée et jamais sortie. Oui, j’ai tendance à faire ça.
Lors de la tournée en juin, allez-vous avoir des t-shirts et des sweats avec des nouveaux designs ? – Daly, Pays-Bas
Absolument. C’est important pour moi de partager quelque chose de spécifique en lien avec l’esprit initial et l’entité de la tournée. Tourner n’est pas une sorte de divertissement stérile pour moi. C’est pourquoi le nom et les visuels sont aussi significatifs que les chansons avec lesquelles nous allons partager chaque soir…
Les dates de tournée sont-elles toujours valables pour le mois à venir ? – Cynthia, États-Unis
Oui, la tournée à venir est maintenue, d’autres dates devraient être ajoutées bientôt… mais les horreurs actuelles qui se déroulent en Ukraine ont un impact très profond sur moi… donc j’y suis très sensible.
Y a-t-il une chance que vous fassiez un concert en Espagne ou au Portugal ? – ro-ro
Je garde toujours mon emploi du temps ouvert, mais pour moi, il s’agit toujours de bien faire les choses, de prendre le temps de vraiment partager un moment plutôt que de divertir… alors j’ai hâte.
Des plans pour des dates canadiennes cette année ? – Paul, Canada
Je n’ai pas de projets pour l’Amérique du Nord à ce stade, j’ai eu la chance d’être invité à partager un moment musical dans de nombreux endroits merveilleux, mais j’ai appris à prendre mon temps, ça viendra.
Est-ce que tout le groupe sera là pour le Rock Your Brain Fest à Sélestat ? – Albina, France
Je vais amener tout le monde avec moi sur la route… s’ils sont toujours gentils avec moi… !
Dans une situation tendue en Europe, il est difficile de penser à des concerts. De nombreux concerts en Pologne sont annulés. Qu’en est-il de votre concert prévu à Cracovie ? – Sylwia, Pologne
Je ne sais toujours pas grand-chose à ce sujet… si ce n’est le fait que mon cœur est avec vous tous.
Alex, à quand un spectacle à Montréal ??? – Alexandre, Canada
Je pense faire un événement à notre église-studio de Drummondville l’automne prochain. Tout dépend de mes projets musicaux.
Vas-tu ajouter une date en Italie ? Andrea, Italie
Je travaille sur différentes options pour notre rendez-vous italien.
On se voit bientôt !
J’ai hâte de vous voir le 16 avril (désolé pour ceux qui avaient encerclé le 9 avril dans leurs calendriers !) pour une session live spéciale et un moment qui sera enregistré directement sur vinyle. Ne manquez pas ça !