A Vessel Astray (Un Navire égaré)
Un navire égaré, érodé par la mer
Et dévoré par la tristesse des yeux en deuil d’une mère
D’un enfant à naître, symbole de chagrin qui était autrefois une lumière
Qui est devenu une étreinte troublante à mesure que l’horizon se dissipe
aux brins languissants, errant avant de se coucher, en larmes
Dans une vision de ravissement, de sang lavé avec du sel
Mélangé à de l’eau et sa tradition baptismale
Nous posons plus de questions que nous ne nous agenouillons pour prier
Si la foi nous a mené jusque-là
L’amour et ses doutes ne sont que des draps persistants
Qui scintillent de leur crépuscule mourant sur nos pieds fatigués
Nos propres cris épuisés
Nous posons plus de questions
Nous posons plus de questions
Dans un firmament de mosaïque
Un océan qui va et vient
Le ciel et ses incrédulités
L’existence et son impermanence
Même la vérité dort seule à travers ses peurs les plus audacieuses
De se noyer bien trop profondément pour faire confiance à ses propres désespoirs
Pour habiter juste un peu trop près de ses propres brumes assombries…
Alors que nous posons plus de questions que nous ne nous agenouillons pour prier…
Alors nous nous agenouillons pour prier…
Prier
Prier
Prier
Paroles: Alex Henry Foster
Traduction en français: Juliette Vandenelsken
Et dévoré par la tristesse des yeux en deuil d’une mère
D’un enfant à naître, symbole de chagrin qui était autrefois une lumière
Qui est devenu une étreinte troublante à mesure que l’horizon se dissipe
aux brins languissants, errant avant de se coucher, en larmes
Dans une vision de ravissement, de sang lavé avec du sel
Mélangé à de l’eau et sa tradition baptismale
Nous posons plus de questions que nous ne nous agenouillons pour prier
Si la foi nous a mené jusque-là
L’amour et ses doutes ne sont que des draps persistants
Qui scintillent de leur crépuscule mourant sur nos pieds fatigués
Nos propres cris épuisés
Nous posons plus de questions
Nous posons plus de questions
Dans un firmament de mosaïque
Un océan qui va et vient
Le ciel et ses incrédulités
L’existence et son impermanence
Même la vérité dort seule à travers ses peurs les plus audacieuses
De se noyer bien trop profondément pour faire confiance à ses propres désespoirs
Pour habiter juste un peu trop près de ses propres brumes assombries…
Alors que nous posons plus de questions que nous ne nous agenouillons pour prier…
Alors nous nous agenouillons pour prier…
Prier
Prier
Prier
Paroles: Alex Henry Foster
Traduction en français: Juliette Vandenelsken