Of Dreams and Dust (De rêves et de poussière)

Le matin chantait
Tel un oiseau volant au-dessus des flots
Les doux murmures du vent
Recouvrant lentement les blessures sans fin
Le tout fait de néons et de lunes fuyantes
S’estompant comme les couleurs de l’innocence
À travers les parfums toujours fanés de la nuit
Et le matin s’en va
Et le matin s’en va
Et le matin s’en va

Le matin chantait
Tel un oiseau volant au-dessus des flots
Les doux murmures du vent
Recouvrant lentement les blessures sans fin
Le tout fait de néons et de lunes fuyantes
S’estompant comme les couleurs de l’innocence
À travers les parfums toujours fanés de la nuit

Dérivant un peu plus à chaque aube qui passe
Le rythme est régulier
Comme la beauté éphémère de nos rubans de jeunesse
Volant dans toutes les directions
Alors que nous courons sans but
Comme la flamme d’une bougie
Ignorant sa propre disparition
Il brille
Brûlant les promesses qu’il portait autrefois
Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à espérer
Et les oiseaux arrêtent de chanter
Alors que la marée continue
En déclin et en renaissance
Attendant que quelqu’un d’autre
Sente sa lueur tourbillonnante bénir ses pieds
Fait de rêves et de poussière
Attendant
Attendant


Paroles: Alex Henry Foster
Traduction en français: Juliette Vandenelsken

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