Too Bright to Crumble (Trop brillant pour s’effondrer)
Ce que nous apprenons des maelströms et des tragédies
N’est pas toujours aussi clair
Assèche tout ce qui a jamais vécu à l’intérieur
Façonne le cours de nos imaginaires naïfs
Notre manque de foi
Lamentations et indifférence
Éloges endeuillées sans affection
Majestueux dans son manque de retenue
Mais désespéré dans sa privation d’humanité
Est-ce la vérité que nous recherchons
Ce n’est pas la liberté sauvage dont j’avais envie
Pendant des années, j’ai mis en scène
Les sons haletants des choses à venir
Sans jamais me soucier du fait d’être
Remuant des marmonnements presque creux
jusqu’à ce que le silence devienne
Plus épais que le sang sur une croix
Il n’y a pas de fête devant une pierre scellée
où les regards inquiets se résignent
À devenir le tombeau de nos océans inquiétants
Laissés errants et déséquilibrés
Quand les images sacrées soufflent sur leur quiétude mouchetée
Pour une nouvelle série d’hymnes
Un sabbat stoïque vicié, laissant place à un humble lâcher prise
Le passage devient étroit et chaque pas est un saut
alors qu’il conduit les mesures douteuses de nos remords agités
À des récoltes abondantes de délices exaltants
Nous nous débarrassons de nos chaînes et de leurs désespoirs enchaînés
Dans un acte de défi fulgurant, nous remontons le sentier pour atteindre la rivière
Dépossédé de nos jougs, de nos mornes fondations
Pour embrasser les beautés de notre désordre consumé et sa consolation
Émergeant d’une paix bien trop brillante pour s’effondrer…
Pour étreindre les beautés de notre désordre consommé et sa consolation
Étreindre
Étreindre
Paroles: Alex Henry Foster
Traduction en français: Juliette Vandenelsken
N’est pas toujours aussi clair
Assèche tout ce qui a jamais vécu à l’intérieur
Façonne le cours de nos imaginaires naïfs
Notre manque de foi
Lamentations et indifférence
Éloges endeuillées sans affection
Majestueux dans son manque de retenue
Mais désespéré dans sa privation d’humanité
Est-ce la vérité que nous recherchons
Ce n’est pas la liberté sauvage dont j’avais envie
Pendant des années, j’ai mis en scène
Les sons haletants des choses à venir
Sans jamais me soucier du fait d’être
Remuant des marmonnements presque creux
jusqu’à ce que le silence devienne
Plus épais que le sang sur une croix
Il n’y a pas de fête devant une pierre scellée
où les regards inquiets se résignent
À devenir le tombeau de nos océans inquiétants
Laissés errants et déséquilibrés
Quand les images sacrées soufflent sur leur quiétude mouchetée
Pour une nouvelle série d’hymnes
Un sabbat stoïque vicié, laissant place à un humble lâcher prise
Le passage devient étroit et chaque pas est un saut
alors qu’il conduit les mesures douteuses de nos remords agités
À des récoltes abondantes de délices exaltants
Nous nous débarrassons de nos chaînes et de leurs désespoirs enchaînés
Dans un acte de défi fulgurant, nous remontons le sentier pour atteindre la rivière
Dépossédé de nos jougs, de nos mornes fondations
Pour embrasser les beautés de notre désordre consumé et sa consolation
Émergeant d’une paix bien trop brillante pour s’effondrer…
Pour étreindre les beautés de notre désordre consommé et sa consolation
Étreindre
Étreindre
Paroles: Alex Henry Foster
Traduction en français: Juliette Vandenelsken